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2éme partie de Claudevefblog

posté le 05-06-2008 à 17:40:46

Mon pere spirituelle (Maé)

Tellement bon, tellement fort
Je pense qu’il était immortel, oh non
Tellement lent ce temps mort
Je dis que ce monde est cruel, oh non
Trop lourd, ce discours
Trop d’histoires en une vie
Trop lourd de nos jours
Tout ces gens qui réalisent aujourd’hui (x2)

Refrain (x2) :
Le jour où je m’envolerai
Je montrai droit au ciel pour aller me reposer
Auprès de me mon père spirituel

Trop belles ces idées qu’il a voulu exprimer
Trop courtes ces années
Mais tellement d’héritiers
Jamais vu, tellement entendu
Et si c’était lui qui m’avait fait
Jour et nuit il hante le plus profond de mes pensées
Pour lui c’est dédicacé

Refrain (x2) :
Le jour où je m’envolerai
Je montrai droit au ciel pour aller me reposer
Auprès de me mon père spirituel

Le jour où je m’envolerai
J’irai me reposer (x3)
Auprès de mon père spirituel (x3)
J’irai me reposer (x2)
Auprès de mon père spirituel (x2)
 


 
 
posté le 05-06-2008 à 17:40:10

Maé vie est une larme (Maé)


Hey yeah yeah yeah
Oh non non non

Mon âme se met à genou
Quand les anges s'envolent et ne veillent plus sur nous
Aux armes je crois bien devenir fou
Mais j'irai venger l'amour
pour qu'il soit là au rendez-vous

Refrain :
Ma vie est une larme qui ne cesse de tomber
Ma vie est une femme en pleurs loin d'être aimée
Ma vie est une flamme qui ne cesse de brûler
Limite au bord des larmes, un coeur de glace brisé

J'ai peur de mon futur je l'avoue
Une illusion, un leur comme si je dormais debout
L'horreur c'est que l'amour te prend tout
Mais tout ce qui ne te tue pas te rend fort et fou

Refrain :
Ma vie est une larme qui ne cesse de tomber
Ma vie est une femme en pleurs loin d'être aimée
Ma vie est une flamme qui ne cesse de brûler
Limite au bord des larmes, un coeur de glace brisé
Et mon charme est une arme qui séduit sans tuer (x2)

Et je prendrai pour vous mes jambes à mon cou
Et je prierai pour nous ma vie c'est vous, c'est nous
Et je prendrai pour nous mes jambes à mon cou
Et je chanterai pour vous l'amour jusqu'à vous rendre fou

Refrain :
Ma vie est une larme qui ne cesse de tomber
Ma vie est une femme en pleurs loin d'être aimée
Ma vie est une flamme qui ne cesse de brûler
Limite au bord des larmes, un coeur de glace brisé
Et mon charme est une arme qui séduit sans tuer (x2)

(x2)
Je prendrai mes jambes a mon cou
Et je vous chanterai l'amour jusqu'au bout
Je prendrai mes jambes à mon cou
Et je crierai mon amour, mes ennuis
 


 
 
posté le 05-06-2008 à 17:38:44

La prétention de rien


Qui peut prétendre me connaître
Sans se contenter du paraître
Image toute faite ou projection
C' qu'on vous prête est à confusion
Qui peut prétendre me comprendre
Quand il faut de tout se défendre
Passé les on-dit, cassé la glace
Et gratté le vernis en surface
Quand soit même on cherche et se perd
Pour toute une vie qu'on veut bien faire

{Refrain:}
Je suis comme je suis
J'aime comme j'aime
Même si j'en paie le prix
Je suis comme je suis
Je suis mes envies
Comme suivent ceux qui m'aiment
Je rêve comme je rêve
Plutôt mal que bien
Parfois même un rien
Je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien

Qui peut prétendre avoir la clé
De mon enfance et ses ratés
Ranger tous vos clichés qui rassurent
Des blessures à vivre sous l'armure
Mais qui peut prétendre encore prétendre
Avoir un jugement à rendre
Et pouvoir s' regarder en face
Qu'est-ce qu'il aurait fait à ma place
Quand moi même je cherche et m'y perd
Pour tout un cirque qu'il faut bien faire

{au Refrain}

La prétention de rien

Je suis comme je suis
J'aime comme j'aime
Je suis comme je suis
Je rêve comme je rêve
Je suis mes envies
Comme suivent ceux qui m'aiment
Ceux qui m'aiment
Je suis comme je suis

Je rêve comme je rêve
Plutôt mal que bien
Parfois même un rien
Je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien {x3}

Je suis comme je suis {x3} <!-- TEXTE / end -->
 


 
 
posté le 05-06-2008 à 17:38:33

La prétention de rien

 


 
 
posté le 05-06-2008 à 17:34:02

Caruso (Pagny)

Qui dove il mare lucida
e tira forte il vento
Su una vecchia terrazza davanti al golfo de surriento
Un uomo abbraccia una ragazza dopo che aveva pianto
Poi si schiarisce la voce e ricomincia il canto
Te voglio bene assai
Ma tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint'e vene sai
Vide le luci in mezzo al mare penso alle notti là in
America
Ma erano solo lampadre e la bianca scia di un'elica
Guardo negli occhi la ragazza quegli occhi verdi come
il mare
Poi all'improvviso usci una lacrima e lui credette di
affogare
Te voglio bene assai
Ma tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint'e vene sai
Potenza della lirica dove ogni dramma è un falso
Che con un po' ditrucco e con la mimca puoi diventare
un altro
Ma due occhi che ti guardano così vicini e veri
Ti fan scordarele parole confondonoi pensieri
Così diventa tutto piccolo anche le notti la in
America
Ti volti e vedi la tua vita come la scia di un'elica
Ma si è la vita che finisce ma lui non ci penso poi
tanto
Anzi si sentiva già felice e ricomincio il suo canto
Te voglio bene assai
Ma tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint'e vene sai
Te voglio bene assai
Ma tanto bene sai
E una catena ormai
Che scioglie il sangue dint'e vene sai
 


 
 
 

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